- Rossini – Guillaume Tell, Acte 3 scène 2 : « Toi que l’oiseau ne suivrait pas »
- Gounod – Mireille, Acte 1 : « O légère hirondelle »
- Meyerbeer – L’Africaine, Acte 5 : « D’ici je vois la mer immense »
- Gounod – Mireille, Acte 2 : « La brise est douce et parfumée »
- Georges Lamothe – Le printemps, opus 75
- Georges Lamothe – Notre dernière valse
- Adolphe Adam – Le chalet : « Il faut me céder ta maîtresse »
- Donizetti – Lucie de Lamermoor, Acte 3, scène 1 : « Il dolce suono »
- Wagner – Lohengrin, Prélude
- Meyerbeer – Le prophète, Acte 1 : « Mon cœur s’élance et palpite »
- Meyerbeer – Robert le diable, Ouverture
Jean-Baptiste Bonnet, prête-nom de son fils
Emprunter sans faire savoir qu’il a un besoin pressant d’argent : telle est la préoccupation majeure du soyeux Bonnet à ses débuts. Pour ce faire, il sollicite des prêts au nom de son père. Illustration.