Vie sociale à la campagne sous la Restauration
Deux courts récits d’invitations entre notables à Jujurieux à l’époque de Louis XVIII.
Deux courts récits d’invitations entre notables à Jujurieux à l’époque de Louis XVIII.
Louis Bonnet, frère de Claude-Joseph, raconte une manifestation libérale à Lyon en 1821, à l’occasion d’élections que certains estiment truquée.
Le texte intégral du testament où Bonnet exige de ses héritiers qu’ils perpétuent l’usine de Jujurieux.
Adrien Framinet entré récemment dans la Fabrique tente de dissuader sa mère, en 1854, de réclamer des congés à son employeur, jugeant que ce serait très mal vu.
Jules Bonnet emprunta la ligne de chemin de fer reliant Saint-Etienne à Lyon quelques mois après sa mise en service. Le bref récit de cette expérience est l’une des rares lettres de l’époque consacrées au sujet qui ait été conservée.
Le jeune Henry Durand, 19 ans, déplore que les « attentions » et « assiduités » n’aient pas le même effet sur les jolies jeunes filles que les « grâces du corps » de son cousin Zacharie.
Alors que Jean-Baptiste Bonnet tente de faire payer un loyer à sa fille Mariette qui habite chez lui, Claude-Joseph tente d’apporter son soutien à sa sœur sans s’opposer à la volonté paternelle.
Jules Bonnet raconte un trajet entre Jujurieux et Lyon en diligence, avec des conditions météo très mauvaises et, cerise sur le gâteau, des remontrances à l’arrivée.
Antoine Bonnet, élève à l’Ecole de Mars à Paris en 1793 assiste d’assez près au coup d’Etat du 9 thermidor. Il relate dans une lettre à son père comment il a été mis au courant des événements.
Ce mode d’emploi pour réutiliser une robe de soie, écrit sous forme de lettre par la rédactrice en chef de la Mode Illustrée, témoigne du recyclage des étoffes au XIXe siècle.