Jean-Baptiste Bonnet, prête-nom de son fils
Emprunter sans faire savoir qu’il a un besoin pressant d’argent : telle est la préoccupation majeure du soyeux Bonnet à ses débuts. Pour ce faire, il sollicite des prêts au nom de son père. Illustration.
Emprunter sans faire savoir qu’il a un besoin pressant d’argent : telle est la préoccupation majeure du soyeux Bonnet à ses débuts. Pour ce faire, il sollicite des prêts au nom de son père. Illustration.
Dans ces deux lettres à sa mère, Claude-Joseph Bonnet exprime le désarroi d’un débutant dans la Fabrique lyonnaise.
Taffetas ou poult de soie ? A l’heure de commander pour sa nièce une pièce de tissu directement au fabricant, Madame de Latour s’interroge.
Le dirigeant de la maison Bonnet Antoine Richard adresse une lettre aux employés en 1872, afin d’apporter des précisions sur le règlement de la succession de l’affaire, qu’il considère, comme ses prédécesseurs, comme une « grande famille ».
Claude-Joseph se rend dans le midi de la France avec Mariette et leurs quatre enfants. Compte-rendu de visite par l’intéressé.
Contemporain de la révolte des canuts, le juge Matthieu Durand exprime son désarroi face à la tournure prise par les événements.
Jules Bonnet, neveu de Claude-Joseph, a fait une tentative malheureuse pour briguer un mandat électif national. L’heure n’était plus tellement au conservatisme. Voici sa profession de foi.
En 1846, Claude-Joseph Bonnet se présente aux élections législatives pour l’arrondissement du Nord de Lyon. Voici le texte de sa profession de foi.
Comédienne, puis poétesse renommée, Marceline Desbordes-Valmore. En visite chez le député Jars, à Paris, elle est remarquée par Mme de Latour, belle-sœur de Louise Durand
Détail de la corbeille de mariage offerte par Paul Cottin (second du nom) à son épouse Magdeleine Guerin en 1897.